the following motions passed at the January 10 general assembly:
1. BIRT JACFA mandate its executive to:
-Ask that joint environmental committees be established by an agreement. This would include the creation of a national labour-management joint committee (comité paritaire) on ecological issues, as well stipulating in the sectoral agreement the creation of local joint committees. In addition, release time is demanded for union members participating on these committees.
– Ensure that our next collective agreements make it binding to achieve carbon neutrality in the workplace by 2040, both in terms of direct and indirect emissions (scope 1, 2 and 3).
– Ensure that environmental demands remain a priority at the time of negotiation, and not used as bargaining chips to obtain gains in other areas.
2. BIRT JACFA reject the employer offers from the CPNC, which reveal a real lack of appreciation of CEGEP teachers’ needs and preoccupations, and would lead to a decline in our working conditions, our students’ learning conditions and the viability of the college network.
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Les recommandations ci-dessous sont adoptées lors de l’assemblée générale du 10 janvier:
1. Que JACFA donne le mandat à son exécutif de :
-revendiquer que des comités environnementaux paritaires soient établis par entente. Cela comprendrait la création d’un comité paritaire national sur les questions écologiques, ainsi que l’inscription dans l’accord sectoriel de la création de comités paritaires locaux. De plus, on revendique une libération pour les participants de ces comités.
– S’assurer que nos prochaines conventions collectives imposent d’atteindre la neutralité carbone au milieu de travail d’ici 2040, tant en termes d’émissions directes qu’indirectes (domaine 1, 2 et 3).
– Veiller à ce que les revendications environnementales restent prioritaires au moment de la négociation, et non utilisées comme levier pour obtenir des gains dans d’autres domaines.
2. Que JACFA rejette les offres patronales du CPNC, qui démontrent un réel manque d’appréciation des besoins et des préoccupations des enseignants des cégeps, et conduiraient à une dégradation de nos conditions de travail, des conditions d’apprentissage de nos étudiants, et de la viabilité du réseau collégial.